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■ Eine Krone von Veilchen
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- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 2004-09-16 | [Text in der Originalsprache: francais] | Veröffentlicht von Nicole Pottier
Tu es si frêle que tu ressembles
A la fleur blanche du cerisier. Ange ressortant parmi les hommes, Sur mon chemin tu apparais. A peine le tapis tu frôles, La soie résonne sous tes pas Et de la tête aux pieds, légère, Pareille au rêve qui flotte tu vas. Des draperies de ta robe longue Telle que le marbre tu surgis - Mon âme s'accroche aux yeux humides De larmes et de bonheur remplis. O, songe des amours heureux, Toi, mariée d'un conte de fées, Ne souris plus, car ton sourire Me montre combien douce tu es, Combien tu peux d'une nuit de charmes Mes yeux assombrir à jamais Et de ta bouche aux chauds murmures Et de l'étreinte de tes bras frais. Soudainement une idée passe, Un voile sur ton regard brûlant - C'est l'ombres des désirs si tendres, C'est bien le noir renoncement. Tu pars et je t'ai bien comprise, Perdue pour toute l'éternité Tes pas je ne veux pas les suivre, Toi, de mon coeur, la mariée ! Que je t'ai vue, c'est bien ma faute De moi toujours non-pardonnée. Pour expier mon rêve-lumière En vain la main droite je tendrai. Je te verrai comme une icône De la très pure vierge Marie, Portant sur ton front la courrone. Quand viens-tu ? Où es-tu partie ? Traduction : Veturia Draganescu-Vericeanu
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