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- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 2008-08-19 | [Text in der Originalsprache: francais] | Veröffentlicht von Guy Rancourt
Une rue lisible.
Une fille Sortie illuminer la lune. Et des pays lointains, Et des pays sans traces… Un rêve salé. Une voix Qui creuse la hanche dans la pierre. Va, mon amour, Sur mes cils… ou sur les cordes. Une lune blessante. Un silence Qui brise vent et pluie Et change le fleuve, en aiguille, Dans une main qui tisse les arbres. Un mur qui nage. Une maison Qui disparaît chaque fois qu’elle apparaît. Ils nous tueront, peut-être Ou dormiront dans le vestibule. Un temps qui démasque. Une mort Qui nous désire, quand elle passe. Tout est fini à présent. Nous nous sommes rapprochés du fleuve. Le périple des gitans s’est achevé Et nous sommes las des voyages. Une rue lisible. Une fille, Sortie coller des photographies Sur les murs de ma dépouille. Et mes tentes sont lointaines, Et elles ne laissent pas de traces. 1984 (Mahmoud Darwich, La terre nous est étroite et autres poèmes)
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